
La véritable mort n’est pas celle du corps,
La véritable mort, ne plus voir la beauté
La fleur vient me rappeler, au beau milieu d’un tas de fumier, elle peut pousser,
Elle ignore ce qui l’entoure,
Elle prend, elle capte, elle va à l’apogée de sa vie,
Là où est sa beauté, Au beau milieu d’un moment sombre, entrevoir un sourire,
Recevoir la carte d’un ami aimé,
Rire un instant, Se chauffer le visage sous le soleil d’hiver,
Pouvoir aimer…la fleur, ma fleur, me souffle tout cela,
Je la vois, si belle, je caresse son pétale,
Elle me murmure de sa voix mêlée de vent et de douceur,
« Tais toi, regarde Où seulement est la beauté… »
Ô ma fleur…
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